Par un important avis en date du 3 juin 2013 (demande d’avis n° J 13-70.003), la Cour de cassation, interrogée par le Tribunal de commerce de Paris sur la portée de l’article L. 622-20 du Code de commerce, estime que cet article confère au créancier qui a été nommé contrôleur, qualité pour agir en extension d’une procédure de redressement judiciaire ou de liquidation judiciaire en cas de confusion des patrimoines ou de fictivité de la personne morale. On lira avec intérêt les conclusions de l’avocat général, Mme Régine Bonhomme, à la Revue des procédures collective, juillet-août 2013, Etude 18.

Centre de préférences de confidentialité

Cookies nécessaires

Les cookies strictement nécessaires doivent être activés à tout moment afin que nous puissions enregistrer vos préférences pour les paramètres de cookies.

Si vous désactivez ces cookies, nous ne pourrons pas enregistrer vos préférences. Cela signifie que chaque fois que vous visitez ce site, vous devrez activer ou désactiver à nouveau les cookies.

Vous pouvez les bloquer ou les supprimer en modifiant les paramètres de votre navigateur et en forçant le blocage de tous les cookies sur ce site.

Cookies statistiques

Ce site utilise Slimstat pour collecter des informations anonymes telles que le nombre de visiteurs sur le site et les pages les plus populaires.

Garder ce cookie activé nous aide à améliorer notre site Web.
Si vous ne voulez pas que nous suivions votre visite sur notre site, vous pouvez désactiver le suivi dans votre navigateur ici :

SlimStat